Travail et fête aux couleurs de la Bretagne
Filaj, ça signifie “fileries” en Breton. Revenons un peu en arrière… Nous sommes au 17ème siècle. A l’époque, les fileries sont des rassemblements lors desquels on file le chanvre ou le lin pour en faire des toiles, un événement ancré au cœur de la vie paysanne. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’un filaj, c’était bien plus qu’une journée de labeur : c’était un réel moment de rencontre et de sociabilité de la culture paysanne, dans une atmosphère de fête.
Véritable moment de partage où se rassemblent petits et grands, cette soirée haute en couleurs était animée de contes, de musiques et de chants, sous le signe de la convivialité et de la tradition. Finalement, on travaillait donc en festoyant ! Un concept séduisant.
Un hommage aux traditions
Aujourd’hui, bien que beaucoup moins démocratisés qu’à l’époque, les filaj restent des occasions de faire vivre la culture bretonne et son histoire grâce à cette fête discrète mais toujours bien présente.
Avec Filaj, nous souhaitons rendre hommage à cet événement local, symbole de notre culture, et faire un clin d’oeil au passé, à ce qui a fait de la Bretagne ce qu’elle est aujourd’hui. Merci à notre belle région qui fait la fierté de tous ses habitants, brandissant le Gwenn ha Du* aux quatres coins du monde !
*Nom du drapeau breton, littéralement “noir et blanc”
Salut les jeunes 😉
Je me demandais justement POURQUOI FIJAJ ?
Quelle belle idée
Maintenant transformons l essai
Je suis à votre disposition quand vous voulez pour vous aider par mes modestes réseaux
Patrick
Salut Patrick !
Merci beaucoup pour ton message 🙂
Ravis que notre article t’ait plu !
Et surtout, merci pour ton engagement et ton aide pour notre projet.
Transformons l’essai, oui, carrément 😉
A très vite !
Bonjour passionné par l histoire du lin et des corsaires et capitaines marchands nous avons des passions en commun. Je peux vous aider à développer votre concept. Par les réseaux sociaux. Je vous ai laissé un message sur votre site. Merci et beau concept pour notre belle Bretagne.
Thierry Daniellou
Ou le corsaire Morgan Rosko